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Dieu avec moi
31 mai 2020

Suivre le chemin lumineux de la vie

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Par Xie Li, Amérique

Autrefois, j’étais quelqu’un qui poursuivait les tendances du monde, je voulais m’abandonner à une vie de plaisirs et je me préoccupais seulement des plaisirs de la chair. J’allais souvent passer toute la nuit à KTV avec mes amis, j’allais faire des balades en plein milieu de la nuit, j’allais pêcher dans l’océan et je voyageais partout en quête de mets raffinés. Je regardais les autres autour de moi, et eux aussi s’efforçaient de bien manger, de porter de belles affaires et d’apprécier les bonnes choses. J’avais le sentiment que c’était pour de telles choses qu’un homme doit travailler dans sa vie, que c’était la raison pour laquelle on doit travailler dur pour gagner de l’argent, que c’était le but dans la vie que tout le monde devait avoir. Il n’y avait qu’avec ces choses-là que la vie ne serait pas vaine. Pour obtenir ces choses, je me moquais de la distance que je devais parcourir ; j’ai donc traversé l’océan pour venir en Amérique et, après m’être débattu pendant plusieurs années, j’ai ouvert ma propre entreprise. J’avais ma propre voiture et ma propre maison. Je menais la vie bénie dont j’avais rêvé. Chaque jour, je mangeais, buvais et recherchais des plaisirs jusqu’à ce que je sois rassasié et que mon cœur soit satisfait. Je pensais que c’était seulement en vivant de cette façon que la vie avait un sens. Jusqu’à ce que je reçoive l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours. Ce n’est qu’après avoir fait l’expérience du jugement et du châtiment de Dieu que j’ai pris conscience de ce qu’est une vie qui a vraiment du sens, et alors je me suis mis à marcher sur le chemin lumineux de la vie.

En mai 2016, ma femme m’a passé l’Évangile du règne de Dieu Tout-Puissant. En lisant la parole de Dieu Tout-Puissant, j’ai pris conscience du plan de gestion de six mille ans de Dieu pour sauver l’humanité, et j’ai aussi compris que Dieu tout-puissant est l’Éternel qui a conduit les Israélites hors d’Égypte, qu’Il est aussi le Seigneur Jésus qui a racheté l’humanité en étant cloué à la croix et qu’Il est maintenant revenu dans la chair pour exprimer la vérité et accomplir l’œuvre de jugement, de purification et de salut de l’homme… Peu de temps après, j’ai commencé à participer à la vie ecclésiale de l’Église de Dieu Tout-Puissant et j’y suis entré en contact avec les frères et sœurs de cette église. J’ai vu qu’ils étaient tous très sincères, qu’il n’y avait aucune prétention ni plaisanterie vaine dans les paroles qu’ils prononçaient et que mes contacts avec eux me procuraient un sentiment de libération que je n’avais jamais ressenti auparavant.

Quand j’ai commencé à assister aux réunions de l’église, je me sentais bien et j’avais envie de me réunir avec les frères et les sœurs, de chercher la vérité correctement et de me livrer à un changement dans mon tempérament de vie. Mais, comme jusqu’alors j’avais convoité le confort de la chair et les plaisirs de la vie, je n’arrivais pas à m’en empêcher, même si j’avais le désir de nous rassembler et de chercher la vérité. Une fois, quand un ami m’a invité à dîner, c’est tombé en même temps qu’une réunion de l’église, ce qui m’a fait éprouver un grand conflit intérieur. Devais-je y aller ou non ? J’ai réfléchi à la question : ça fait longtemps que je ne suis pas sorti pour m’amuser. Ce n’est pas facile pour mon ami de m’inviter aujourd’hui, aussi je devrais y aller. Après tout, mes amis ne m’invitent pas tous les jours, et je pourrai aller à la réunion de l’église la prochaine fois. J’ai donc affirmé que j’avais quelque chose à faire et j’ai abandonné mon projet d’aller à la réunion de l’église pour aller plutôt au dîner. Nous avons mangé et bu, nous sommes allés à KTV, mais sur le chemin du retour, je n’ai ressenti aucun sentiment de bonheur à l’intérieur. Au fond de mon cœur, je ressentais une sorte de vide indescriptible et j’éprouvais aussi des sentiments de culpabilité. J’ai repensé à ce qui s’était passé. Quand j’étais au repas avec des amis et d’autres gens du village, ils étaient tous très cordiaux avec moi à table, mais derrière mon dos, ils se creusaient la cervelle, complotaient, essayaient de trouver comment me soutirer de l’argent. C’était tellement fatigant de traiter avec eux. Je n’ai tout simplement pas réussi à trouver quelqu’un avec qui parler des choses qui comptaient pour moi. Je suis sorti aujourd’hui, j’ai bu et mangé à satiété, et j’ai aussi satisfait mes amis, mais qu’ai-je vraiment gagné ? Je me sentais vide et impuissant, je sentais que j’avais déçu Dieu et je me sentais désolé envers mes frères et sœurs.

Cependant, ce vide dans mon esprit, ce sentiment de culpabilité que j’avais encore ne pouvait pas me libérer des attraits du monde des plaisirs sensuels. Dans mon cœur, je désirais encore m’abandonner à une vie de plaisirs, à des choses qui appartiennent à la chair, mais Dieu a arrangé les choses et mis en place un environnement de façon pratique pour changer ces idées erronées sur la quête. A l’approche de la Fête nationale, ma femme m’a suggéré : « Organisons seulement une célébration simple ; puis, avec le temps qu’il nous restera, nous pourrons encore lire une partie de la Parole de Dieu et regarder des vidéos de la famille de Dieu pour nous en apprendre davantage sur la vérité et comprendre la grâce du salut de Dieu. » Mais je n’ai pas vraiment pris à cœur les paroles de ma femme, et au lieu de cela j’ai commencé à préparer la façon dont j’allais célébrer les jours fériés. J’ai choisi avec soin la route que j’allais prendre, je suis allé au marché et j’ai acheté toute la nourriture et toutes les autres choses dont j’aurais besoin. J’ai décidé d’aller avec ma femme au bord de la mer et d’organiser notre propre petit barbecue. Et donc, quand le jour de la Fête nationale est arrivé, j’ai emmené ma femme avec moi et nous sommes partis heureux en voiture. Cependant, tout ne s’est pas passé comme prévu : il y a eu des embouteillages tout le long du trajet et, à mi-chemin, nous nous sommes rendu compte que le GPS ne fonctionnait pas correctement et que nous allions dans la mauvaise direction. Il n’a pas été facile d’atteindre notre destination et, au final, une fois arrivés au bord de la mer, les vents soufflaient très fort, ce qui rendait notre barbecue impossible. Ma femme m’a alors demandé de faire demi-tour et de rentrer à la maison, mais je n’en avais pas envie. J’ai insisté pour que nous continuions notre route à la recherche d’un parc non loin où nous pourrions allumer notre barbecue, mais les trois parcs où nous sommes allés étaient pleins de gens et il n’y avait même pas de place pour se garer. C’est seulement après tout cela que j’ai fait demi-tour à contrecœur pour rentrer chez nous. Le trafic sur la route du retour était tout aussi dense qu’auparavant. Nous avions initialement décidé de faire un barbecue pour le déjeuner, mais il était déjà 16 heures passées et nous n’avions encore rien préparé. Nous étions affamés. D’ordinaire, je me sens dans mon droit et j’éprouve une pleine confiance en moi, mais à ce moment-là, j’étais démoralisé et je n’avais rien à dire. J’étais seulement assis en silence et je conduisais en me sentant malheureux. C’est à ce moment-là que la voiture devant moi a soudain freiné brusquement, et que j’ai dû freiner rapidement à mon tour. Même si je n’ai pas touché la voiture devant moi, j’ai été heurté par la voiture qui me suivait. Heureusement, personne n’a été blessé et seule la carrosserie de la voiture a été un peu abîmée. Je savais que Dieu avait permis cet événement. Comme je n’avais pas l’intention d’accuser l’autre conducteur, je suis parti. Je me suis dit : hé, tous ces plans minutieux que j’avais conçus pour la journée n’ont servi à rien ; c’est bien vrai que les plans ne peuvent jamais suivre le rythme des changements et que tout est arrangé par Dieu. Je n’aurais vraiment pas dû sortir aujourd’hui pour m’abandonner aux plaisirs de la vie. Je n’aurais pas dû compter sur mon propre tempérament !

Quand nous sommes rentrés à la maison, ma femme et moi avons lu plusieurs passages de la parole de Dieu ensemble : « De plus en plus de gens considèrent les récits de l’œuvre de Dieu et Ses paroles pendant l’ère de l’Ancien Testament comme des mythes et des légendes. Dans leur cœur, les gens deviennent indifférents à la dignité et à la grandeur de Dieu, à la doctrine selon laquelle Il existe et domine sur toutes choses. La survie de l’humanité et le destin des pays et des nations ne sont plus importants pour eux. L’homme vit dans un monde vide qui ne se préoccupe que de manger, boire et rechercher du plaisir… Peu de gens prennent sur eux de rechercher l’endroit où Dieu réalise Son œuvre aujourd’hui, ou de chercher comment Il préside et organise la destination de l’homme » (« Dieu préside au destin de toute l’humanité », dans La Parole apparaît dans la chair). « Un monde de gaieté et de splendeur, et qui le devient de plus en plus. Le cœur de tous les gens y est attiré et plusieurs sont pris au piège et incapables de s’en extirper […]. Si tu ne t’efforces pas de progresser, si tu n’as pas d’idéaux et si tu ne t’es pas enraciné dans le vrai chemin, cette vague pécheresse t’emportera » (« Pratique (2) », dans La Parole apparaît dans la chair). Les paroles du Dieu Tout-Puissant expriment l’essence des tendances du monde de manière très claire. Les tendances du monde ne sont que Satan séduisant l’homme et le dépravant. Ce ne sont que des tours et des stratagèmes destinés à dévorer l’homme. Satan utilise seulement le fait de boire et de manger, de rechercher le plaisir et d’autres choses conformes à la chair pour tromper et attacher l’homme. Dès que le cœur de l’homme est possédé par ces choses qui appartiennent à la chair, il n’est plus enclin à chercher des choses positives et il s’éloigne de plus en plus de Dieu, ce qui le conduit à être dévoré et capturé par Satan. En lisant la Parole de Dieu, j’ai réalisé que mes idées sur la quête étaient toutes complètement fausses. Quel que soit ce qui me préoccupe, qu’il s’agisse de manger, de boire, de rechercher les plaisirs de la chair ou de chercher une vie où je suis au-dessus des autres, ces choses-là sont toutes le résultat de Satan corrompant la race humaine. J’ai eu la confirmation par mes propres expériences que quand on recherche ces choses qui appartiennent à Satan, on devient seulement de plus en plus dépravé, de plus en plus instable et débauché. Cela ne fait qu’amplifier l’avidité, l’égoïsme, la méchanceté et la traîtrise. On vit dans le péché et en dehors d’une humanité normale. Même si l’homme profite de plus en plus de ces choses, même si l’homme en obtient de plus en plus, à la fin, elles seront toujours dans le vide. Si un homme possédait toutes ces choses mais ne venait pas devant Dieu, sa vie serait encore vaine, elle n’aurait ni importance ni valeur. Ce n’est qu’en venant devant Dieu, en croyant en Dieu et en adorant Dieu que l’homme marchera sur le chemin d’une vie convenable, et ce n’est qu’alors que l’homme se libérera d’une vie de vacuité et de malheur. J’ai donc décidé de changer ma façon de vivre et de marcher sur le droit chemin.

Quand j’ai vu mes frères et sœurs se dépenser activement pour Dieu, quand j’ai vu leur dévouement à accomplir leurs devoirs et leur quête d’une vie pleine de sens, j’ai moi aussi ressenti le désir de chercher ces choses et de vivre comme vivent les gens vrais, conformément à ce que Dieu exige. C’est pourquoi, en plus des réunions régulières, j’ai aussi voulu trouver le temps d’accomplir mes propres devoirs. C’est à ce moment-là que l’église a arrangé quelques tâches pour moi. Il fallait que j’aille en voiture conduire deux de nos sœurs quelque part et que je les ramène la semaine suivante. La première fois que ce devoir m’a été confié, je l’ai accepté avec joie. Mais quand les frères et sœurs qui m’ont confié cette tâche sont partis, j’ai commencé à avoir des doutes et même quelques regrets : « Oh là la, le jour où je suis supposé emmener ces sœurs est censé être mon jour de congé, et la semaine suivante je dois aller les chercher. Je vais devoir me réveiller super tôt ces deux jours-là. La durée du trajet n’a pas d’importance ; l’important, c’est que cette route est très facilement encombrée par la circulation. Il vaut mieux y aller tôt le matin parce qu’il y aura moins de voitures, mais qui peut dire combien de temps je vais rester coincé dans les embouteillages sur le chemin du retour ? Je vais perdre tout mon temps dans la circulation, et je n’aurai pas mon jour de repos… » Quand ma femme m’a entendu me plaindre ainsi, elle a échangé avec moi : « Accomplir tes devoirs n’est pas aussi simple que tu l’imaginais. Cela impliquera certainement que tu mettes la vérité en pratique. Pratiquer la vérité, c’est renoncer à la chair, et cela signifie que tu vas subir des épreuves et payer un prix. Penses-y : tu avais l’habitude d’aller boire, manger et rechercher des plaisirs, et même si tu ne t’amusais pas vraiment après une journée fatigante, tu ne te plaignais jamais. A présent on t’a confié une tâche, tu dois y consacrer un peu de ton temps et tu dois suivre un chemin qui comporte des difficultés, mais dans ton cœur tu n’as pas envie de le faire. Ce devoir, même si à l’extérieur il semble avoir été arrangé pour toi par tes frères et sœurs, en réalité ce n’est pas pour une personne en particulier que tu l’accomplis : c’est pour satisfaire Dieu et lui rendre Son amour. Ce devoir t’a été donné aujourd’hui, c’est Dieu qui t’élève et c’est l’amour de Dieu qui vient sur toi. Tu devrais chérir cela. Ne te crée pas de regrets pour ton premier devoir. » Après avoir dit cela, elle m’a lu un passage de la parole de Dieu : « Tout ce que les gens font requiert qu’ils paient un certain prix dans leurs efforts. Sans difficulté réelle, ils ne peuvent pas satisfaire Dieu, ils ne sont même pas près de satisfaire Dieu, et ils ne font que débiter des slogans creux ! Ces slogans vides peuvent-ils satisfaire Dieu ? Quand Dieu et Satan se battent dans le domaine spirituel, comment dois-tu satisfaire Dieu et comment dois-tu tenir ferme dans ton témoignage en Sa faveur ? Tu devrais savoir que tout ce qui t’arrive est une grande épreuve et le moment où Dieu a besoin que tu portes témoignage. Extérieurement, elles pourraient ne pas sembler très importantes, mais quand ces choses se produisent, elles montrent si oui ou non tu aimes Dieu. Si tu L’aimes, tu seras en mesure de tenir ferme dans ton témoignage en Sa faveur, et si tu n’as pas mis Son amour en pratique, cela montre que tu n’es pas quelqu’un qui met la vérité en pratique, que tu es sans la vérité et sans vie, que tu es une paille ! Tout ce qui arrive aux gens est quand Dieu a besoin qu’ils tiennent ferme dans leur témoignage en Sa faveur. Rien de majeur ne t’est arrivé jusqu’à ce moment et tu ne portes pas un grand témoignage, mais chaque détail de ta vie quotidienne se rapporte au témoignage en faveur de Dieu » (« Seulement aimer Dieu est vraiment croire en Dieu », dans La Parole apparaît dans la chair).

Quand j’ai fini de lire la parole de Dieu Tout-Puissant, quand j’ai fini d’écouter les paroles de ma femme, je me suis rendu compte que Dieu en me confiant ce devoir me mettait vraiment à l’épreuve, pour voir si oui ou non je pouvais satisfaire Dieu et endurer des épreuves. Mais ce que je révélais, c’est que je considérais seulement les intérêts de ma propre chair, que je tenais seulement compte de mes pertes et profits personnels, que je n’étais pas prêt à souffrir et à payer un prix, et qu’au lieu de cela je me plaignais. J’ai vu que j’étais extrêmement égoïste, que dans mon cœur les plaisirs charnels comme boire, manger et autres avaient déjà dépassé le statut de Dieu dans mon cœur. J’étais parfaitement heureux de dépenser tout ce que j’avais, de payer n’importe quel prix pour manger, boire et trouver du plaisir, mais quand on m’a confié un devoir qui exigeait de moi de consacrer du temps à Dieu, j’ai commencé à calculer mes propres pertes et profits et j’ai été réticent à pratiquer la vérité pour satisfaire Dieu. Ces pensées et ces actions de ma part feraient rire Satan et ne me permettraient pas de rendre témoignage devant Dieu. Après avoir compris ces choses, je me suis rapidement présenté devant Dieu et j’ai prié pour qu’Il puisse me donner la volonté de faire en sorte de renoncer à ma chair et de ne plus suivre Satan, afin que je puisse rendre témoignage devant Dieu et vaincre Satan dans la lutte spirituelle dans laquelle je me trouvais ! Après que j’ai changé d’attitude au sujet du devoir, dans ma coopération pratique, j’ai bien vu la bénédiction de Dieu. Que ce soit quand j’ai emmené les sœurs à leur destination ou quand je les ai ramenées, dans aucun des deux sens je n’ai rencontré de gros embouteillages. Cela avait complètement dépassé mon imagination et mes conceptions étaient vraiment neutralisées. J’ai éprouvé pour la première fois le sentiment de paix et de bonheur que m’apportait l’accomplissement du devoir, et j’ai aussi vu que lorsque les gens renoncent à la chair et pratiquent la satisfaction de Dieu, non seulement Dieu leur ouvre le chemin, mais Il leur permet aussi de comprendre la vérité et de voir Ses œuvres. J’ai soudain senti que cela me rendait plus heureux que de partir en vacances ou de manger des repas extravagants. Et il s’est avéré que faire cela un jour de repos n’est vraiment pas une perte de temps. C’est en fait plein de sens !

Par ces expériences concrètes, j’ai pu constater par moi-même qu’il était doux de renoncer à ma chair et d’accomplir le devoir de satisfaire Dieu. J’ai vu que tout ce que Dieu fait, c’est pour me sauver de la sombre influence de Satan, pour qu’un jour prochain je puisse marcher sur le droit chemin de la quête de la vérité. Ces choses viennent toutes de l’amour de Dieu et du salut de Dieu. Quelques jours sont passés, puis j’ai reçu un appel d’un des frères. Il m’a demandé si j’étais prêt à aller dans un autre État pour chercher des frères et sœurs, et j’ai accepté sans la moindre hésitation. Après avoir accepté cela, je n’ai pas ressenti de plainte. J’étais parfaitement disposé et heureux de faire ce que j’étais censé faire, et tout le voyage s’est déroulé sans encombre. Après avoir conduit les frères et sœurs à leur destination en toute sécurité, je me suis senti très fier de moi, parce que c’était la première fois que je m’étais acquitté d’un devoir de mon plein gré, sans aucune impureté. Cela m’a aussi appris que l’accomplissement du devoir qu’une créature doit accomplir est vraiment la chose la plus importante que l’on puisse faire. Je n’avais plus envie de boire, de manger et de poursuivre des plaisirs, je ne voulais plus poursuivre les plaisirs de la chair ; tout ce que je voulais faire, c’était chercher la vérité, accepter la vérité et pratiquer la vérité, de sorte qu’un jour prochain je puisse devenir quelqu’un qui aime vraiment Dieu. Ces petites choses dans ma vie ont fini par me changer à mon insu. Ma vie n’est plus mauvaise et dépravée comme par le passé. J’ai commencé à changer et à travailler activement en vue de certaines choses. C’est comme si j’avais commencé un tout nouveau chapitre de ma vie. Dans mon cœur, je ressens une douceur et un plaisir que je n’avais jamais éprouvés auparavant, et je suis reconnaissant au Dieu Tout-Puissant de me guider sur le chemin lumineux de la vie. Toute gloire est à Dieu Tout-Puissant !

Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant

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